Monday, December 12, 2011

Plus de pépins que dans une pomme...

... et ça continue.

Le dernier pépin en lice: la poutre.  Celle qui va remplacer le mur porteur, donc le mur arrière qui sera démoli un jour, paraît-il ( mais peut-être pas en 2011 au rythme où vont les choses).  On en parle depuis juin, de la poutre.  En fait, l'ingénieur en structure, le contracteur et l'architecte en parlent et moi je hoche la tête, essaie de faire semblant que je suis la discussion sur les mérites relatifs et comparés de l'acier, du HSLA (aussi connu sous le nom de HSS, pour votre information), du bois et de laminés plastiques ultra performants dont j'ai oublié le nom.

On a fini par se décider pour le HSS.  J'ai approuvé la décision pour la forme.  Il y a eu un problème d'usinage.  J'ai accepté les délais plus long que prévu.

La poutre est arrivée.

Mais personne n'avait vu, en la commandant -ou en démolissant le mur- qu'elle est plus large que l'entre-plafond.  Elle dépassera donc.  Le plafond ininterrompu -le rêve de l'extension parfaite- sera chose du passé.  A moins qu'on en commande une moins profonde.  Qui, avec ma chance et les délais actuels, arrivera probablement aux calendes grecques.  Et probablement avec une anomalie rare.

Ne vous surpenez pas, donc, si de guerre lasse, mon plafond se retrouve avec un air pseudo-industriel (qui, en fait, me plairait bien car on recouvrira déjà une colonne d'acier.  Mais la poutre HSLA est couleur rouge-brun-Tremclad-anti-rouille, ce qui me plait moins).

Réunion au sommet, demain, pour analyser la situation.

Entre temps, quelques images:






Bébé et Mon-coeur ont construit une table avec un seau, une affiche et un bout de plywood...


Pingouin a été mis en punition, ou contemple la marche finale sur la planche de pirate...


Par contre, les  plantes semblent adorer la poussière, le manque de soleil et la sécheresse (il n'y a toujours pas d' eau à la maison, ou pardon, au chantier)


La cuisine pour laquelle l'entrepreneur parlait de faire de la "finition" la semaine passée... finir quoi, je vous le demande!



Les petites colonnes-cric d'auto soutiennent l'endroit où sera la poutre, en attendant la démolition du mur extérieur.  C'est la partie la plus délicate du chantier.  À voir pour cette semaine ou la semaine prochaine, selon les circonstances.


Ils ont coulé une autre couche de béton sur la dalle de fondation, mais quelques empreintes des chats qui montent la garde persistent, a mon grand plaisir.  J'ai bien envie de les faire marcher sur mon comptoir en béton, aussi, pour rester dans le thème...

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